Cette consultation a eu lieu :
du 9 juillet 2024
au 23 août 2024
Résumé de la décision
Il a été décidé de procéder à la conception d’un cadre réglementaire visant le stockage géologique du carbone à l’échelle commerciale en Ontario, qui permettrait l’aménagement de projets à l’échelle commerciale prêts pour la technologie et la poursuite des essais et des démonstrations des nouvelles technologies de stockage du carbone.
Détails de la décision
La décision d’aller de l’avant avec la conception d’un cadre réglementaire visant le stockage géologique du carbone à l’échelle commerciale en Ontario soutiendra la réduction des émissions, la production d’hydrogène à faible teneur en carbone, la transition vers une économie à faible émission de carbone, la préservation d’emplois de qualité, l’attraction d’investissements, l’encouragement de l’innovation et l’aide aux entreprises ontariennes à tirer parti des mesures incitatives fédérales en faveur du stockage du carbone.
Le stockage du carbone est un nouveau concept en Ontario, et l’élaboration d’un cadre global visant à réglementer cette activité permettrait de s’assurer qu’elle est menée de façon responsable et que des mesures sont en place pour protéger la population et l’environnement. L’établissement d’un cadre législatif et réglementaire clair concernant cette activité sera essentiel pour tirer parti des avantages potentiels et gérer les risques potentiels qui sont associés au stockage géologique du carbone, notamment en réduisant au minimum les risques de fuites vers la surface ou les sources d’eau potable, la sismicité induite ou les interactions avec d’autres activités liées aux ressources.
L’Ontario a adopté une approche mesurée et progressive pour permettre et réglementer le stockage géologique du carbone en Ontario.
Au cours de la première phase de la feuille de route de l’Ontario visant à permettre le stockage géologique du carbone, et à la suite d’une consultation sur un document de travail publié en janvier 2022, des modifications ont été proposées dans le cadre du projet de loi 46, Loi de 2023 visant à réduire les formalités administratives pour un Ontario plus fort, afin de retirer l’interdiction concernant le stockage du carbone de la Loi sur les ressources en pétrole, en gaz et en sel. Ces modifications ont reçu la sanction royale le 22 mars 2023.
Au cours de la deuxième phase, le gouvernement a apporté d’autres modifications à la Loi sur les ressources en pétrole, en gaz et en sel afin de prévoir la réalisation de « travaux particuliers » destinés à mettre à l’essai ou évaluer de nouvelles technologies, méthodes ou activités telles que le stockage du carbone (mais sans s’y limiter), à en faire un projet pilote ou à en faire la démonstration, ainsi qu’à améliorer la sécurité du public. Ces modifications ont reçu la sanction royale le 8 juin 2023.
De septembre à octobre 2023, le ministère a mené une consultation sur la mise en œuvre d’un règlement permettant aux promoteurs de demander une approbation relative aux travaux particuliers, y compris le stockage du carbone. Ce règlement est entré en vigueur le 1er janvier 2024.
Au cours de la troisième phase, le gouvernement a mené une consultation sur l’élaboration d’une proposition de cadre en ce qui concerne le stockage du carbone à l’échelle commerciale. Les commentaires obtenus dans le cadre de cette consultation, ainsi que les leçons tirées de l’examen des administrations canadiennes et internationales ayant déjà mis en place des cadres, serviront à éclairer la conception de l’approche proposée par le ministère pour réglementer le stockage du carbone à l’échelle commerciale en Ontario.
Le cadre à l’échelle commerciale de l’Ontario serait axé sur la réglementation du stockage du carbone dans les formations géologiques souterraines. Les activités de stockage ou de séquestration du carbone qui ne nécessitent pas l’utilisation de puits pour injecter du CO2 dans les formations géologiques ne seraient pas assujetties au nouveau cadre.
Effets de la consultation
Des commentaires ont été reçus de la part des collectivités autochtones, de l’industrie, des associations agricoles, des municipalités, des organisations non gouvernementales, des experts en la matière, des agriculteurs et d’autres membres du public.
Compte tenu des commentaires reçus, le ministère a décidé de procéder à l’élaboration d’un cadre visant le stockage géologique du carbone à l’échelle commerciale, en commençant par l’élaboration d’une nouvelle loi, la Loi sur le stockage géologique du carbone, qui, si elle était approuvée, serait suivie d’un règlement d’application avant que la loi puisse entrer en vigueur. Le cadre proposé établirait une approche claire pour l’accès à l’espace de stockage souterrain, établirait un système de permis visant à autoriser les activités de recherche, d’évaluation et de stockage, et assurerait une gestion sécuritaire et responsable des activités et des sites de stockage du carbone tout au long du cycle de vie du projet et à long terme.
Pour obtenir de plus amples renseignements sur le projet de Loi sur le stockage géologique du carbone, veuillez consulter l’avis connexe intitulé Favoriser le développement du stockage géologique du carbone à l’échelle commerciale en Ontario : Loi sur le stockage géologique du carbone (lien fourni dans les avis du REO connexes ci-dessous).
Tous les commentaires reçus ont été examinés et pris en compte dans la décision du ministère de procéder à la conception d’un cadre réglementaire. Un résumé des commentaires reçus est présenté ci-dessous.
Ce que nous avons entendu :
Les réactions des commentateurs au document de travail portant sur la réglementation du stockage géologique du carbone à l’échelle commerciale en Ontario étaient généralement mitigées. Les intervenants de l’industrie se sont montrés largement favorables à la conception d’un cadre réglementaire permettant le stockage géologique du carbone, car il s’agirait d’un outil potentiel de décarbonisation et il entraînerait d’autres avantages économiques pour l’Ontario. Certains commentateurs ont indiqué qu’il était nécessaire de disposer de renseignements plus détaillés sur les risques et les répercussions sur l’environnement et la sécurité publique liés au stockage géologique du carbone pour mieux comprendre et commenter les répercussions du document de travail et du cadre en cours d’élaboration. D’autres commentaires portaient sur des stratégies provinciales plus générales liées au captage, au transport et à l’utilisation du carbone, qui ont été considérées comme ne faisant pas partie de la portée du présent affichage.
Portée du cadre
Les représentants de l’industrie étaient généralement d’accord pour dire que le fait de se concentrer dans un premier temps sur la mise en œuvre de projets à l’échelle commerciale dans les aquifères salins et les réservoirs de pétrole et de gaz épuisés du sud-ouest de l’Ontario répondrait aux besoins de l’industrie. Toutefois, les répondants de l’industrie n’étaient pas tous d’accord avec cette forme de limitation. En outre, de nombreux représentants de l’industrie se sont opposés à l’idée de limiter les activités de stockage du carbone à des profondeurs de 800 m ou plus et ont estimé que les activités de stockage devraient être permises à n’importe quelle profondeur lorsqu’un promoteur est en mesure de démontrer qu’il peut le faire de manière sécuritaire et responsable.
Droits à l’espace interstitiel
La plupart des représentants de l’industrie se sont montrés favorables à la dévolution de l’espace interstitiel à la Couronne, car cela permettrait d’affirmer que l’espace interstitiel est un bien public et donnerait à l’industrie la certitude dont elle a besoin pour investir dans des activités commerciales.
D’autres commentateurs se sont généralement opposés à la dévolution par l’Ontario de l’espace interstitiel à des terres privées, au motif que cela reviendrait à supprimer les droits existants des propriétaires fonciers et pourrait avoir une incidence négative sur les droits et les intérêts des collectivités autochtones. Toutefois, certains commentateurs ont souligné que le contrôle de l’espace interstitiel par les propriétaires fonciers a donné lieu à des litiges et à des contestations judiciaires dans d’autres administrations où cette approche a été adoptée.
Utilisation des terres de la Couronne
Les contributions de l’industrie ont généralement convenu qu’un processus concurrentiel est approprié pour l’attribution de l’espace de stockage sur les terres de la Couronne, car il permettrait d’optimiser une ressource limitée et faciliterait l’évaluation des demandes de projet de manière transparente et systématique. Certains commentateurs ont proposé que les propriétaires de droits d’exploitation du sous-sol pour le pétrole et le gaz naturel, lorsqu’ils chevauchent des zones potentielles de stockage géologique du carbone sur les terres de la Couronne, aient la priorité dans le cadre d’un processus concurrentiel visant à réduire le risque associé à la migration du CO2 injecté dans les réserves louées.
Participation et répercussions possibles
De nombreux commentateurs ont indiqué qu’il fallait davantage de contexte et de renseignements à l’appui concernant les répercussions des installations de stockage du dioxyde de carbone, notamment une description des risques associés à la sismicité induite et aux puits mis hors service de manière inadéquate dans une zone de projet.
Les collectivités autochtones souhaitent une participation et une consultation significatives tout au long de l’élaboration du cadre et des projets individuels. Des préoccupations ont été soulevées quant à l’adéquation des processus de consultation en général. Pour les projets individuels susceptibles d’avoir une incidence sur les collectivités autochtones, une collectivité a indiqué que des renseignements détaillés devraient être fournis pour tous les aspects du projet, y compris les plans de projet, les évaluations des risques, les plans de surveillance et les plans de fermeture, que les renseignements fournis aux collectivités devraient être faciles à comprendre et que les promoteurs devraient prévoir suffisamment de temps et de financement des capacités pour l’examen du projet. Un commentateur a suggéré d’élaborer des documents d’orientation pour la participation avec les collectivités autochtones ayant des droits et des intérêts qui correspondent aux zones de stockage géologique potentielles dans le sud-ouest de l’Ontario.
Les propriétaires fonciers et la communauté agricole ont généralement convenu que le cadre réglementaire doit établir des lignes directrices claires décrivant la façon dont les répercussions sur la productivité agricole, le sol et la qualité de l’eau seront évaluées et atténuées, et que les évaluations doivent être étayées par des renseignements supplémentaires sur les avantages, les risques et la sécurité du stockage géologique du carbone.
Un commentateur a souligné l’importance de la participation et de l’atténuation des risques avec les exploitants de centrales nucléaires si un projet de stockage géologique du carbone est proposé à proximité des activités de production d’énergie nucléaire.
Autorisations, contrôles opérationnels et mise en œuvre du cadre
Dans l’ensemble, les commentateurs ont souligné que les contrôles opérationnels doivent être suffisants pour traiter les risques pour l’environnement, l’eau potable et la sécurité publique. Les commentateurs ont soutenu la conception de contrôles opérationnels rigoureux à toutes les étapes de la mise en œuvre du projet, y compris l’adoption de normes de l’industrie (p. ex. la norme Z741 – Stockage géologique du dioxyde de carbone de l’Association canadienne de normalisation). L’industrie est généralement favorable à une approche progressive des autorisations, à condition que les étapes soient clairement définies. Les commentateurs ont également fait valoir que le processus d’obtention des permis requis ne devrait pas être perçu comme fragmentaire et non coordonné pour s’assurer que les intervenants locaux comprennent bien les permis demandés et l’échelle du projet proposé.
Les contributions de l’industrie ont généralement reconnu que des tiers peuvent jouer un rôle dans certains aspects de la mise en œuvre du cadre, dans des circonstances appropriées et à certaines conditions, y compris une surveillance et une autorité adéquates sur les tiers. Un commentateur s’est opposé à ce que des éléments du cadre soient fournis par un tiers, car les risques liés au stockage géologique du carbone pourraient durer plus longtemps qu’un organisme tiers.
Il a également été avancé que, indépendamment du fait que le cadre soit administré par un tiers ou par la province, des ressources et des capacités appropriées (en ce qui concerne le nombre d’employés, les connaissances techniques et l’expérience pratique) devraient être mises en place pour sa mise en œuvre.
Garanties financières et responsabilité à long terme
Les commentateurs ont convenu que les promoteurs doivent avoir des garanties financières pour les passifs associés à l’exploitation de leurs projets, ainsi que pour les coûts de fermeture et de remise en état afin d’éviter que les sites ne deviennent orphelins.
Dans l’ensemble, les commentateurs ont convenu que les délais associés au stockage à long terme du carbone ainsi qu’à la surveillance et à l’entretien continus des sites de stockage peuvent durer plus longtemps que n’importe quel promoteur individuel, et que la province est probablement la seule entité qui pourrait raisonnablement assumer les responsabilités à long terme en matière de surveillance et d’intendance des projets de stockage géologique du carbone. Les commentateurs se sont montrés favorables à ce que cette responsabilité à long terme ne devienne pas un fardeau pour les contribuables et les propriétaires fonciers.
Documents justificatifs
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Proposition initiale
Détails de la proposition
La capture du dioxyde de carbone (« CO2 » ou « carbone ») et son stockage permanent dans des formations géologiques profondes pourraient fournir aux industries de l’Ontario un outil essentiel pour réduire leurs émissions et contribuer à la réalisation des objectifs de réduction des émissions de l’Ontario. Le stockage géologique du carbone (également appelé stockage du carbone) consiste à injecter le CO2 capturé dans des formations géologiques profondes en vue d’un stockage permanent.
L’Ontario adopte une approche mesurée et progressive pour permettre et réglementer le stockage géologique du carbone dans la province.
Au cours de la première phase de la feuille de route de l’Ontario visant à permettre le stockage géologique du carbone, et à la suite d’une consultation sur un document de travail publié en janvier 2022, des modifications ont été proposées dans le cadre du projet de loi 46, Loi de 2023 visant à réduire les formalités administratives pour un Ontario plus fort, afin de retirer l’interdiction concernant certaines activités de stockage du carbone de la Loi sur les ressources en pétrole, en gaz et en sel. Ces modifications ont reçu la sanction royale (approbation) le 22 mars 2023.
Au cours de la deuxième phase, de nouvelles modifications ont été apportées à la Loi sur les ressources en pétrole, en gaz et en sel afin de permettre la réalisation de « travaux particuliers » destinés à mettre à l’essai ou évaluer de nouvelles technologies, méthodes ou activités telles que le stockage du carbone, à en en faire un projet pilote ou à en faire la démonstration, ainsi qu’à améliorer la sécurité du public. Ces modifications ont reçu la sanction royale (approbation) le 8 juin 2023.
De septembre à octobre 2023, nous avons mené des consultations sur la mise en œuvre d’un règlement permettant aux promoteurs de demander une approbation relative aux travaux particuliers, y compris le stockage du carbone. Le Règlement de l’Ontario 425/23 – Special Projects, pris en application de la Loi sur les ressources en pétrole, en gaz et en sel, est entré en vigueur le 1er janvier 2024. Bien que le cadre relatif aux travaux particuliers s’applique de la même manière aux terres publiques (de la Couronne) et aux terres privées, d’autres modifications législatives seraient nécessaires avant que les terres publiques puissent être utilisées pour réaliser des projets de stockage du carbone.
Au cours de la troisième phase, nous travaillons actuellement à l’élaboration d’une proposition de cadre en ce qui concerne les projets de stockage du carbone à l’échelle commerciale.
L’aménagement de projets de stockage du carbone à l’échelle commerciale en Ontario peut contribuer à :
- soutenir la réduction des émissions et la production d’hydrogène à faible teneur en carbone ;
- soutenir la transition vers une économie à faible émission de carbone ;
- préserver des emplois de qualité, attirer des investissements, et encourager l’innovation ;
- aider les entreprises ontariennes à tirer parti des mesures incitatives fédérales en faveur du stockage du carbone.
Les différentes administrations ont adopté diverses approches dans l’élaboration de cadres réglementaires relatifs aux projets de stockage du carbone à l’échelle commerciale. Certaines administrations, comme l’Alberta et la Colombie-Britannique, ont intégré dans les cadres législatifs existants des exigences régissant les activités de stockage du carbone. La province du Manitoba a récemment présenté un nouveau projet de loi distinct qui, s’il est adopté par l’assemblée législative et promulgué, régira le stockage du dioxyde de carbone dans les formations géologiques de la province. Quelle que soit l’approche adoptée par l’Ontario, l’élaboration d’un cadre réglementaire à l’échelle commerciale nécessiterait très probablement la modification de plusieurs lois et règlements existants et la mise en place d’un vaste pouvoir réglementaire permettant à la province de compléter et de peaufiner le cadre de l’Ontario à l’avenir.
Nous souhaitons obtenir des commentaires sur la conception d’un cadre réglementaire à l’échelle commerciale en Ontario. Le document de travail décrit divers éléments couramment abordés dans les cadres réglementaires relatifs au stockage du carbone en vigueur dans d’autres administrations et dont nous envisageons de tenir compte dans la conception du cadre proposé par l’Ontario. À la fin du document de travail, nous avons également inclus des questions visant à recueillir des commentaires sur la manière dont ces éléments pourraient être intégrés dans la conception d’un cadre relatif au stockage du carbone à l’échelle commerciale en Ontario.
Analyse d’impact de la réglementation
Les conséquences environnementales, sociales et économiques de cette proposition devraient être neutres à positives.
Le stockage du carbone est un nouveau concept en Ontario, et l’élaboration d’un cadre global visant à réglementer cette activité permettrait de s’assurer qu’elle est menée de façon responsable et que des mesures sont en place pour protéger la population et l’environnement. L’établissement d’un cadre législatif et réglementaire clair concernant ces projets serait essentiel pour gérer les risques qui sont associés au stockage géologique du carbone, notamment en réduisant au minimum les fuites potentielles vers la surface ou les sources d’eau potable, la sismicité provoquée (événements sismiques dus à l’activité humaine), ou les interactions avec d’autres activités liées aux ressources.
L’aménagement de projets de stockage du carbone à l’échelle commerciale en Ontario pourrait préserver ou créer des emplois, en particulier dans les domaines de la construction, de l’exploitation, et de l’entretien des installations et de l’infrastructure connexe.
En cas d’approbation, les promoteurs souhaitant obtenir l’autorisation d’élaborer des activités de stockage du carbone à l’échelle commerciale seraient tenus de fournir une garantie financière et de payer des redevances et autres frais établis pour couvrir les coûts associés à la mise en œuvre du cadre, tels que les frais annuels et les frais liés aux demandes. Les projets qui utiliseraient les terres et les ressources publiques dans le cadre de projets de stockage du carbone pourraient également être soumis à des redevances telles que des paiements liés à la location à bail ou la location. Le cadre pourrait chercher à adopter des normes de l’industrie visant à éliminer les exigences redondantes en matière de production de rapports et à faciliter l’harmonisation des activités avec d’autres administrations.
Les coûts administratifs associés à un cadre réglementaire à l’échelle commerciale dépendraient de la conception finale du cadre et seraient évalués au cours de son élaboration. Nous vous invitons à nous faire part de vos commentaires sur les coûts administratifs potentiellement associés à l’un ou l’autre des concepts ou des éléments du cadre abordés dans le présent document de travail.
Documents justificatifs
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Certains documents justificatifs peuvent ne pas être accessibles en ligne. Si tel est le cas, vous pouvez demander à consulter les documents en personne.
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